NFL Team Honors V : New York Giants

500-Giants

L’expérience Pat Shurmur n’aura duré que deux ans, mais il était probablement le mauvais candidat au mauvais moment : entre les blessures, le crash impressionnant de la défense (qui se souvient de 2016 ?), la lessive de l’effectif (parfois surprenante) et la passation de pouvoir au poste de Quarterback, cela faisait beaucoup de choses à gérer en même temps. Joe Judge ne repart pourtant pas sur des bases absentes : ce n’est pas comme si les G-men étaient vides de talent, c’est juste que des maux récurrents les frappent.

À lire en encadrant son #10 pour l’accrocher au mur.

 

NEW YORK GIANTS
3e NFC East ~ 4-12

 

Les prévisions de Madame Soleil 2019

 

Existait-il une méthode derrière la folie de Dave Gettleman ? Le problème avec les prévisions de Madame Soleil, c’est qu’on se retrouvait parfois à devoir répondre aux questions qui fâchent, en essayant d’éviter le sarcasme, l’optimisme ou le pessimisme. Le General Manager avait décidé de faire le ménage dans le vestiaire, quelque soit le prix au niveau du talent, ce qui représentait une partie des paris pris pendant l’intersaison.

Il y avait donc eu ces deux échanges avec les Browns – le receveur Odell Beckham Jr. contre le Safety Jabrill Peppers et le pass-rusher Oliver Vernon contre le Guard Kevin Zeitler ; Peppers était venu remplacer Landon Collins qui n’avait pas été resigné et qui était parti dans la division à Washington. Du côté offensif, le départ d’OBJ était le plus frappant, surtout à la lumière des déconvenues subies par le corps des receveurs ensuite : l’ex-Lion Golden Tate était suspendu, Corey Coleman était sur IR et Sterling Shepard s’était fracturé le pouce ; cela laissait Cody Latimer et Russell Shepard en têtes de gondole du groupe, et il était heureux d’avoir le Tight End Evan Engram pour contribuer.

L’arrivée de Zeitler ne devait pas être sous-estimée : on connaissait les problèmes de la ligne offensive qui avait enfin vu partir Ereck Flowers, et le spécialiste de l’Ohio devait renforcer l’intérieur où se trouvaient le Centre Jon Halapio et le sophomore Will Hernandez ; Nate Solder s’était bien repris après un démarrage catastrophique alors que l’ex-Viking Mike Remmers avait été ajouté en Right Tackle pour donner une unité un peu plus présentable, mais qui devait prouver sa valeur. Ce serait au bénéfice de tout le monde, à commencer par le scintillant Saquon Barkley et un Eli Manning qui voyait désormais l’ombre du premier tour Daniel Jones derrière lui.

Du côté défensif, le départ de Collins posait des questions même si l’énergie de Peppers pouvait répondre à quelques-unes ; une signature sous-cotée avait été celle de l’ex-Cardinal Antoine Bethea pour apporter de l’expérience. Le départ de Vernon était plus inquiétant : le sophomore Lorenzo Carter et l’ex-Cardinal (encore) Markus Golden allaient devoir mettre les bouchées doubles, avec l’apport du troisième tour Oshane Ximines pour offrir un pass-rush digne de ce nom dans la Grosse Pomme ; il ne serait pas surprenant de voir beaucoup de blitz de la part du Coordinateur Défensif James Bettcher.

Sur le reste de la ligne défensive, le premier tour Defensive Tackle Dexter Lawrence venait aider contre la course, rejoignant l’excellent duo B.J. Hill – Dalvin Tomlinson ; ce n’était que la moitié du problème, car la ligne des Linebackers continuait d’être un point de contention malgré les efforts d’Alec Ogletree et B.J. Goodson. Chez les Cornerbacks, le troisième choix de premier tour Deandre Baker devait s’installer à l’opposé de Janoris Jenkins, avec le retour de blessure du sophomore Sam Beal ; il y avait besoin de renouveau au poste, et la franchise espérait que les deux pourraient l’incarner, car derrière Jackrabbit ce n’était plus assez solide. Cependant, leur réussite était aussi assujettie à celle du pass-rush, ce qui nous ramenait au problème précédent.

Dans tous les choix faits cette intersaison, c’était bien cette histoire de pass-rush qui pouvait être la plus préjudiciable pour les G-men. On pouvait discuter 107 ans de la décision de prendre Daniel Jones par rapport à Dwayne Haskins, mais ce n’était que conjecture tant qu’il n’était pas sur le terrain, et on connaissait la longévité d’Eli. En excluant l’hécatombe au poste de receveur (difficilement prévisible), c’était autour des deux lignes qu’il fallait scruter les résultats sans attendre des miracles (ce qui voulait dire, en langage Big Blue, qu’ils pouvaient aussi bien surprendre leur monde).

 

La saison

 

Wk Loc. Adversaire Rés. Score Bilan Détails
1 @ Dallas L 17-35 0-1 d
2 vs. Buffalo (1-0) L 14-28 0-2 wp
3 @ Tampa Bay (1-1) W 32-31 1-2 co/W
4 vs. Washington (0-3) W 24-3 2-2 d
5 vs. Minnesota (2-2) L 10-28 2-3 cwp
6 @ New England (5-0) L 14-35 2-4 wp
7 vs. Arizona (2-3-1) L 21-27 2-5 co
8 @ Detroit (2-3-1) L 26-31 2-6 co
9 vs. Dallas (4-3) L 18-37 2-7 d
10 @ NY Jets (1-7) L 27-34 2-8 o/L
11 BYE
12 @ Chicago (4-6) L 14-19 2-9 co
13 vs. Green Bay (8-3) L 13-31 2-10 cwp
14 @ Philadelphia (5-7) L 17-23 (OT) 2-11 dwpo/TL
15 vs. Miami (3-10) W 36-20 3-11
16 @ Washington (3-11) W 41-35 (OT) 4-11 do/TL
17 vs. Philadelphia (8-7) L 17-34 4-12 dwp/L

 

Le bilan de saison régulière

 

  • Global : 4-12.
    • Par demi-saison : 2-6, 2-6.
    • Par quart de saison : 2-2, 0-4, 0-4, 2-2.
    • À domicile : 2-6.
    • À l’extérieur : 2-6.
    • Dans la division (d) : 2-4.
    • Dans la conférence (d+c) : 3-9.
    • Contre les équipes ayant terminé avec un bilan positif (w) : 0-6.
    • Contre les équipes qualifiées en playoffs (p) : 0-6.
    • Dans les matchs à une possession d’écart (o) : 2-5.
    • En dernier quart-temps (W-L-TT-TL) : 1-2-0-2.
    • En prolongation : 1-1.
  • Calendrier projeté (avec les bilans de 2018) : 120-134-2 (0.473, 27e).
  • Calendrier réel (avec les bilans de 2019) : 120-134-2 (0.473, 27e).
    • Écart entre les deux : 0.000 (12e).

Les Giants ont réussi à avoir EXACTEMENT le calendrier projeté, jusqu’aux deux matchs nuls (Minnesota et Green Bay l’année dernière, Detroit et Arizona cette année) ; c’est assez remarquable en soi. Les plus mauvaises saisons de Washington, Chicago et Detroit ont été contrebalancées par les meilleures de Green Bay, Buffalo, et à moindre mesure les Jets et Arizona. Ils ont été bien moins en réussite contre les équipes terminant en positif (0-6 vs. 2-7) ou contre les équipes qualifiées en playoffs (0-6 vs. 2-6).

 

La réalité

 

Toute l’équipe a en général très mal démarré les matchs (différence de points moyenne de -3.6 en premier quart-temps – pire marque) et mal fini également (-4.3 en dernier quart-temps – 31e). Cela a été mieux au milieu avec notamment 8.6 points marqués en deuxième période, mais pas dans les deux dernières minutes de celui-ci avec une différence de points totale de -36 (pire marque) ; difficile de rentrer au vestiaire avec le moral dans ces conditions.

Puisque nous en sommes aux différences qui font mal, New York a posté le pire turnover differential de NFL à -17 (16 ballons volés / 33 ballons perdus), et une des rares excuses qu’on peut concéder à la défense. Parce que pour le reste, 28.2 points encaissés (30e), 377.3 yards par match (25e) ou 79 big plays (29e) ne peuvent pas suffire. L’attaque n’est pas exempte de tout reproche, mais par trop souvent c’est la même escouade qui a essayé de tirer l’autre vers le haut.

Voici les récompenses de la saison :

Déjà un dilemme : aucun joueur des Giants n’a été ultra-dominant au point de mériter le titre de Most Valuable Player. Le coureur Saquon Barkley a été loin de connaître une saison facile avec sa blessure, mais au final il est quand même l’arme offensive #1 avec 269 touches pour 1441 yards et 8 TDs ; ses 110.9 yards par match le placent 6e NFL et ses 8 big plays 5e.

https://www4.pictures.zimbio.com/gi/Kavon+Frazier+Saquon+Barkley+New+York+Giants+mi3cJJchrmJl.jpgIl continue d’être un poison pour les défenses quand il est à 100%, ce qui n’est pas arrivé assez souvent en 2019 et a compté aussi dans le bilan ; sans lui, ce n’est plus la même : Wayne Gallman et a scoré 2 TDs mais n’a tourné qu’à 3.8 yards par course.

Les G-men courent derrière un Linebacker potable depuis un petit moment, et ils ont confirmé que l’expérience Alec Ogletree n’avait rien donné de vraiment probant en le libérant. Cependant, il a eu un partenaire qui n’a pas fait que visiter Broadway : David Mayo a signé pour un an et le minimum pour un maxi-retour ; extrêmement incisif contre la course, il est devenu une machine à plaquer avec 82 dont 5 run stuffs. Il a été la bonne surprise du chef dans un back-7 qui a eu du mal à se trouver des héros, même si vous ne voulez pas le voir en couverture (sur cet aspect Ogletree a été meilleur avec 6 passes défendues et 1 INT, et il a aussi 5 run stuffs – mais il a eu moins d’activité en général).

Si vous n’aviez pas deviné (mais c’est évidemment le cas car vous êtes fan des NFL Team Honors), le poste de Linebacker est un des « maux récurrents » cités en entête.

Difficile de ne pas mettre Barkley quand il double (à 40 yards près) la production du deuxième joueur offensif. D’ailleurs ce Season Review file à la vitesse d’un Barkley à 100%.

Plusieurs candidats, donc donnons la palme à celui qui a réussi un petit exploit : le Linebacker Markus Golden a atteint 10 sacks (en 37 pressions), le premier Giant depuis JPP en 2014 et le premier Linebacker depuis Lawrence Taylor en 1990. Il a également été présent contre la course avec 8 run stuffs et 1 TD sur retour de fumble ; il a réussi un sacré retour de ses blessures et de son année sans en 2018.

https://static.clubs.nfl.com/image/private/t_editorial_landscape_12_desktop/giants/xfql3zh8a5hugevguvnf.jpgCertains diront que c’était facile vu ce qu’il avait autour de lui, et c’est assez vrai : le deuxième pass-rusher est Lorenzo Carter avec 19.5 pressions dont 4.5 sacks (plus efficace dans les autres secteurs) et le rookie Oshane « Supervillain » Ximenes avec 13.5 pressions dont 4.5 sacks. Dans ces conditions, ce n’est pas si mal d’avoir totalisé 136 pressions (16e) dont 36 sacks (22e), mais, comme prévu par Madame Soleil (qui ne dit pas que des bêtises), il a fallu appeler du renfort avec 14 sackeurs différents (10e).

Cela tombe bien : ils sont deux, et ils sont arrivés dans les deux unités les plus solides de l’équipe. Le premier tour Defensive Tackle Dexter Lawrence et le cinquième tour receveur Darius Slayton ont été de vraies bonnes pioches.

Le nom de Lawrence n’a pas souvent été prononcé mais il s’est de suite intégré dans l’excellent intérieur de ligne défensive des Giants. Il a été le Defensive Lineman le plus utilisé de la franchise avec 717 snaps et a répondu présent avec notamment 10.5 pressions dont 2.5 sacks, 1 fumble forcé et 1 block sur XP.

Slayton a été la lumière dans le groupe talentueux mais ravagé par les blessures des cibles : lui aussi a été le plus utilisé (709 snaps) et il a terminé en tête via 48 réceptions pour 740 yards (15.4) et 8 TDs. La simple idée de ce groupe à 100% est terrifiante avec Golden Tate (49 réceptions pour 676 yards et 6 TDs), Sterling Shepard (57 réceptions pour 576 yards et 3 TDs) et Evan Engram (44 réceptions pour 467 yards et 3 TDs). Clairement, l’ensemble doit pouvoir faire mieux qu’un maigre taux de 49.7% de réceptions donnant un first down (29e).

https://static.clubs.nfl.com/image/private/t_editorial_landscape_12_desktop/giants/md2ijbyntwzrt6r1qriz.jpgTout cela pourrait être du pain béni pour le premier tour Quarterback Daniel Jones. Cette saison, il a été un peu trop boom or bust pour vraiment mériter une récompense, et ce total aberrant de 18 fumbles concédés pour 11 perdus a été un point noir (surtout avec cette défense de l’autre côté), mais cela ne veut pas dire qu’il n’aura pas ses bibelots dans le futur. Il a eu quelques montées de fièvre remarquables et son apport à la course n’est pas négligeable (6.2 yards par course et 2 TDs), mais il doit gagner en régularité… et avoir une aide disponible autour de lui. Il termine avec 61.9%, 3027 yards, 6.6 yards par passe tentée, 24 TDs, 12 INTs et 87.7 de QB Rating, ce qui est à l’image de sa saison.

Et, bien sûr, puisque nous sommes sur le sujet des lanceurs : bonne retraite à l’emblématique Eli Manning qui a fait toute sa carrière (vallonnée) dans le même club, a terminé sur une victoire dans « son » MetLife, se retire avec deux bagues et deux titres de Super Bowl MVP, et vient de faire monter encore un peu plus dans les tours le débat sur sa nomination au Hall Of Fame.

L’imbroglio autour du Cornerback Janoris Jenkins. Intrinsèquement, le joueur aurait largement pu être considéré comme Giants Defensive Player Of The Year, ayant été – et de loin – le meilleur arrière avec une saison pleine à 14 passes défendues et 4 INTs. Hors du terrain par contre, il y a eu cet entraînement manqué en 2017, ces critiques contre ses partenaires et son Coordinateur, et enfin ce « fameux » tweet qui lui « coûte » sa place à New York.

Ne nous leurrons pas : Jackrabbit a eu tort d’utiliser ce terme, mais l’organisation cherchait surtout la première excuse pour s’en débarrasser. Et cette perte n’a bien évidemment rien arrangé dans son unité et son escouade ; nous y revenons sous peu.

Nous en avons touché deux mots avec Lawrence : l’intérieur de la ligne défensive a été d’une redoutable efficacité, surtout contre la course. Avec cette rotation de Dalvin Tomlinson, B.J. Hill et l’arrivée de Leonard Williams par échange en cours d’année, le coeur de l’unité a été impressionnant ; l’extérieur n’a pas eu la même consistance même s’il a été bon aussi. Tomlinson a encore été le leader logique avec 5.5 run stuffs, 12.5 pressions dont 3.5 sacks (Williams arrive derrière avec 11.5 pressions).

https://cdn.vox-cdn.com/thumbor/4oUSjibRC0NtBJHPZgvtTwvdW9k=/0x0:3967x2987/1200x800/filters:focal(1939x1053:2573x1687)/cdn.vox-cdn.com/uploads/chorus_image/image/66139461/1177919142.jpg.0.jpgCertes, la défense contre la course a encaissé 19 TDs (28e), mais les 3.9 yards par course (4e) prouvent qu’elle a été régulièrement présente ; il manque juste de la solidité au deuxième niveau, mais la première ligne a été sacrément efficace et les Safeties sont venus apporter leur contribution tels Antoine Bethea (3 run stuffs), Jabrill Peppers (6 run stuffs) ou le quatrième tour Julian Love (6 run stuffs).

Comme déjà indiqué avec Jenkins, la couverture a eu beaucoup de mal – et encore plus sans lui : 66.4%, 7.6 yards par passe tentée, 11.4 yards par complétion, 30 TDs, 10 INTs et 101.4 de QB Rating adverse ; tout cela se situe entre la 25e et la 28e place pour un groupe aux abois en 2019.

Le troisième choix de premier tour, Deandre Baker, a été très utilisé et très visé à l’opposé de Jenkins (8 passes défendues) : il a énormément souffert avec notamment 9 pénalités pour 116 yards avant de mieux finir ; dans le slot, Grant Haley a également eu du mal. Derrière eux, la performance a été un peu plus acceptable, mais pas suffisamment pour couvrir les manques : Bethea reste un vétéran sur lequel on peut compter – il a été le troisième défenseur le plus utilisé en NFL avec 1132 snaps – et Love sera à surveiller pour la suite.

Tate ? Bethea ? Golden ? Mayo ? Faut-il prendre aussi en compte les échanges pour Peppers, Williams, Kevin Zeitler ? Cela parait fou à dire pour une équipe à 4-12 mais la Free Agency de Dave Gettleman a eu du flair, et elle pourrait faire du grabuge en 2020.

En parlant de Zeitler, il a été le phare d’une ligne offensive encore en manque de stabilité dans la production cette saison : tout le côté gauche a lutté entre le Left Tackle Nate Solder, le Centre Jon Halapio et surtout le Guard Will Hernandez au milieu qui n’a pas eu le même rendement que sa saison rookie ; l’apport du Right Tackle Mike Remmers n’a pas été phénoménal non plus.

Le fait d’avoir un rookie Quarterback peut s’entendre jusqu’à un certain point, surtout quand les stats à la course suivent la même tendance : 56 run stuffs concédés (27e) et 165 pressions (30e) dont 43 sacks (19e). Voilà l’autre maux récurrent qui est toujours présent chez les G-men, ce qui est assez surprenant quand on sait que Gettleman est un homme qui aime les tranchées.

Chez les gros contrats, aucun.

La victoire 32-31 à Tampa Bay en Week 3. Le match contre Washington avec les 5 TDs de Jones était remarquable, mais le rookie a réussi contre les Bucs quelque chose qu’Eli n’avait jamais fait : revenir de -18 pour l’emporter, avec 2 TDs à la course et 2 TDs à la passe. Il a démontré toute l’étendue de ce qu’il peut apporter à l’équipe dans le futur, et tout cela sans Barkley, blessé.

9 défaites consécutives entre les Weeks 4 & 14. Record de franchise égalé ; dans le lot, celle contre les Jets en Week 10 fait probablement le plus mal quand on se rappelle qu’ils venaient d’offrir à Miami leur première victoire de la saison (et étaient partis pour le faire avec Cincinnati aussi). Partager le même stade c’est sympathique, mais ce n’est pas une raison.

 

Le futur

 

Wk Type Loc. Adversaire Bilan Statut
1 MNF vs. Pittsburgh 8-8 Équilibre
2 @ Chicago 8-8 Équilibre
3 vs. San Francisco 13-3 DivChamp
4 @ LA Rams 9-7 Positive
5 @ Dallas 8-8 Équilibre
6 vs. Washington 3-13 Négative
7 TNF @ Philadelphia 9-7 DivChamp
8 MNF vs. Tampa Bay 7-9 Négative
9 @ Washington 3-13 Négative
10 vs. Philadelphia 9-7 DivChamp
11 BYE
12 @ Cincinnati 2-14 Négative
13 @ Seattle 11-5 Playoffs
14 vs. Arizona 5-10-1 Négative
15 vs. Cleveland 6-10 Négative
16 @ Baltimore 14-2 DivChamp
17 vs. Dallas 8-8 Équilibre

 

  • Matchs contre des équipes avec un bilan positif en 2019 : 6.
  • Matchs contre des équipes qualifiées en playoffs en 2019 : 5.
  • Bilan cumulé total en 2019 : 123-132-1 (0.482, 26e).
    • Bilan cumulé à domicile en 2019 : 59-68-1 (0.465, 24e).
    • Bilan cumulé à l’extérieur 2019 : 64-64 (0.500, 14e).
    • Écart entre domicile et extérieur : -0.035 (22e).
  • Distance totale théorique de voyage : 14699 kms (19e).
  • Différence totale de jours de repos entre les matchs : -4 (24e).

Eh oui, encore des couleurs autres que rouge un peu partout, mais un calendrier qui est loin d’être destructeur pour autant, cela ne vous rappelle rien ? Les G-men vont attaquer leur pain noir de suite avec un démarrage assez violent : si progression il n’y a pas, cela risque de devenir sombre assez vite.