NFL Team Honors II : San Francisco

500-49ers

Vous pensiez que cela ne pouvait pas être pire qu’une saison coachée par Jim Tomsula ? Vous aviez tort. Les 49ers ont cramé pour de bon dans une année catastrophe avec le genre de records de franchise qu’on ne veut jamais égaler ou battre : record de défaites en une saison (14 – à égalité avec 1978, 1979, 2004) et record de défaites consécutives en une saison (13). L’attaque manque cruellement de playmakers, la défense se fait marcher dessus constamment… il est difficile de croire que cette équipe a perdu une finale de conférence il y a seulement trois ans. Sans surprise, San Francisco va essayer de reconstruire avec d’autres blocs… y compris dans les bureaux.

A lire en se refaisant l’intégrale des saisons 2011-2013.

 

SAN FRANCISCO 49ERS
4e NFC West ~ 2-14

 

Les prévisions de Madame Soleil 2016

 

La principale modification de taille dans l’effectif de San Francisco avait finalement été l’arrivée d’un nouveau Head Coach avec Chip Kelly pour remplacer Jim Tomsula. Les 49ers n’avaient pas fait la même erreur que les Eagles en ne donnant pas tous les pouvoirs à l’ancien coach d’Oregon, maintenant un General Manager au-dessus de sa tête ; en espérant que Kelly avait appris des choses positives et négatives de son passage à Philly. Et il avait du boulot à faire dans une équipe qui sortait d’une saison 2015 légitimement compliquée étant donné la terrible intersaison. Celle de 2016 avait été un peu plus tranquille au premier abord, avec seulement un « échange » de Guards en Free Agency : départ d’Alex Boone (qui était déjà mécontent l’année dernière) et signature de l’ex-Jaguar Zane Beadles. Mais il n’avait pas fallu attendre longtemps pour recevoir le premier coup dur avec l’absence pour la saison du précieux Nose Tackle Ian Williams.

Pour le reste, la draft était la source #1 de nouveaux talents chez les gros avec notamment les deux choix de premier tour : le Defensive Lineman DeForest Buckner et l’Offensive Lineman Joshua Garnett ; la franchise avait compris qu’il fallait renforcer les deux lignes pour rebâtir sur du solide. Mais certains doutes persistaient, le premier étant sur le nom du Quarterback titulaire avec un duel haletant digne de Steve Young vs Joe Montana (ou pas) : Blaine Gabbert ou Colin Kaepernick ? L’attaque était d’ailleurs le point d’interrogation avant la saison : qui pour lancer la balle ? Qui pour attraper la balle ? Carlos Hyde pouvait-il repartir du bon pied ? En fait, c’était peu ou prou les mêmes questions qu’avant la saison précédente. La défense, avec NaVorro Bowman ou Tramaine Brock, avait ses défauts (notamment Williams sur IR et Aaron Lynch suspendu pour quatre matchs) mais tenait la baraque… parfois.

Les 49ers espéraient voir une amélioration cette saison en (re)construisant quelque chose pour le futur, ce qui n’était pas gagné ; il y avait de grandes chances que Chip Kelly doive insuffler les changements lui-même.

 

La saison

 

  • Week 1 : Los Angeles, 28-0
  • Week 2 : @Carolina, 27-46
  • Week 3 : @Seattle, 17-38
  • Week 4 : Dallas, 17-24
  • Week 5 : Arizona, 21-33
  • Week 6 : @Buffalo, 16-45
  • Week 7 : Tampa Bay, 17-34
  • Week 8 : BYE
  • Week 9 : New Orleans, 23-41
  • Week 10 : @Arizona, 20-23
  • Week 11 : New England, 17-30
  • Week 12 : @Miami, 24-31
  • Week 13 : @Chicago, 6-26
  • Week 14 : NY Jets, 17-23 (OT)
  • Week 15 : @Atlanta, 13-41
  • Week 16 : @Los Angeles, 22-21
  • Week 17 : Seattle, 23-25

 

Le bilan

 

  • Global : 2-14.
    • Dans la division : 2-4.
    • Dans la conférence : 2-10.
    • Contre les équipes ayant terminé avec un bilan positif : 0-7.
    • Contre les équipes qualifiées en playoffs : 0-6.
  • Calendrier projeté (avec les bilans de 2015) : 142-114 (0.555, 1e).
  • Calendrier réel (avec les bilans de 2016) : 127-125-4 (0.504, 14e).
    • Écart entre les deux : -0.051 (26e).

Merci les Rams ! Les 49ers ont bénéficié de la chute de tension dans la division (surtout Arizona) et de celle de Chicago pour avoir un calendrier plus facile… mais toujours positif à cause, entre autres, de Dallas.

 

La réalité

 

Ce qui est assez terrible avec la saison des 49ers, c’est que leur calendrier était plus facile que l’année dernière, et pourtant ils terminent avec les pires statistiques défensives de la saison : 480 points encaissés, 56 TDs encaissés, 406.4 yards encaissés par match, 100 big plays (les seuls à atteindre la centaine), 66 voyages adverses en redzone ; c’est surtout la défense au sol qui a été catastrophique avec 165.9 yards encaissés, 25 TDs et 67 big plays. L’attaque n’a pas beaucoup aidé avec le pire temps de possession par match (26:55), 308.1 yards gagnés (31e), un taux de sack encaissé par action de passe de 8.7% (30e) ou 15 fumbles perdus (32e). Et même quand on pense voir une chose positive, comme par exemple 68.2% de voyages en redzone terminant par un TD (2e), il faut modérer en disant que les 49ers ne l’ont atteinte que 44 fois (29e). Il y a une seule lueur d’espoir dans la saison de San Francisco, et nous commençons par elle.

Voici les récompenses de la saison :

Est-ce qu’il serait trop demandé d’avoir un 49er qui a joué à un bon niveau tous les matchs (oui, sinon ils n’auraient pas fini 2-14) ? Entre le coureur Carlos Hyde, le Left Tackle Joe Staley ou le Middle Linebacker NaVorro Bowman, ils n’ont pas joué la saison entière suite à une blessure. Mais comme il faut bien faire un choix, parlons de la lueur d’espoir évoquée ci-dessus : le jeu au sol, mené par Carlos Hyde ; le jeune coureur progresse constamment depuis trois ans.

http://www2.pictures.zimbio.com/gi/Carlos+Hyde+San+Francisco+49ers+v+Los+Angeles+e4XyamYUvSgl.jpgLes 49ers ont couru pour 126.2 yards (4e), 15 TDs (14e) et 60 big plays (3e) ; de gros progrès par rapport à 2015. Hyde a été le cheval de travail pour faire avancer l’attaque du mieux possible, terminant à 217 courses pour 988 yards (4.6) et 6 TDs ; il faut y ajouter 27 réceptions pour 163 yards et 3 TDs. Le seul reproche qu’on pourrait lui faire est ce total de 4 fumbles dont 2 perdus, mais il a été la source majeure de yards pour l’offensive de San Francisco à la course, avec l’aide d’un certain Quarterback dont nous reparlerons plus tard.

NaVorro Bowman ? Tendon d’Achille. Ray-Ray Armstrong ? Déchirure du pectoral. Nick Bellore ? Coude. Shayne Skov ? Genou. L’unité des Inside Linebackers a été massacrée par les blessures cette saison, ce qui n’a pas arrangé la situation créée en 2015 avec, rappelons-le, les retraites de Patrick Willis et Chris Borland. Cela a forcé l’équipe à courir partout pour récupérer des joueurs comme Carl Bradford. Michael Wilhoite et surtout Gerald Hodges ont joué le rôle des derniers des Mohicans au poste, et comme vous pouvez le voir c’est surtout ce dernier qui est souligné.

Commençons par dire que les Inside Linebackers ont été une partie du problème contre la course, mais Hodges a été remarquablement actif même si, encore une fois, il y a eu des lacunes. Il termine avec une fiche complète : 83 plaquages dont 3 à perte, 3 sacks, 2 passes défendues, 2 INTs, 1 fumble forcé et 1 fumble récupéré. Ce n’est pas mal pour quelqu’un qui avait presque disparu des radars même après la blessure de Bowman, mais qui a gagné sa place. En tout cas, il a été plus efficace que Wilhoite (55 plaquages, 0.5 sack, 2 passes défendues, 1 fumble forcé, 1 fumble récupéré) qui a peiné avec plaquages ratés, mauvais angles, incapacité à se défaire des blocs etc.

C’est d’autant plus rageant que Bowman continue d’être un playmaker et que Armstrong pourrait bien solidifier sa place à ses côtés au poste. Bellore a surtout été bon en couverture (5 passes défendues, 1 INT) et pour voler les ballons (2 fumbles forcés, 1 fumble récupéré).

Son absence pour blessure l’a empêché d’être Most Valuable Player, mais Joe Staley mérite le titre de meilleur joueur offensif. A 33 ans, il continue d’être un roc sur le côté gauche d’une ligne offensive qui a toujours des problèmes, même si c’est un peu moins catastrophique que l’année dernière. Il semble que l’unité ait gagné en qualité au cours de la saison, mais c’est encore bien insuffisant. Le Guard Andrew Tiller continue de former un bon côté gauche, mais entre la blessure du Centre Daniel Kilgore, les Guards Zane Beadles et le rookie Joshua Garnett ainsi que le sophomore Right Tackle Trent Brown… on reste dans l’expectative avec cette unité. Wait & see.

Vous n’allez pas trouver de joueurs qui ont crevé le plafond dans la défense des 49ers cette saison ; à la fois parce que les potentiels meilleurs se sont blessés, et parce que les talents qui restent ont été plombés par des secteurs défaillants (nous y reviendrons dans la meilleure unité). Dans le lot, donnons la prime à l’expérience et à la constance : le Safety Antoine Bethea a été une présence importante dans la dernière ligne de défense, surtout avec toutes les bourdes du front-7 à rattraper contre la course. Il termine en tête de l’équipe avec 110 plaquages, 3 passes défendues, 1 INT, 1 fumble forcé et 1 fumble récupéré.

Le premier tour Defensive End DeForest Buckner a été une vraie addition positive sur la ligne défensive des 49ers. Il a de suite pris sa place de titulaire, étant un des trois seuls défenseurs à jouer 1000+ snaps avec Bethea et le Cornerback Tramaine Brock. Comme le reste de l’équipe, il a eu du mal à exister contre la course, mais il a déjà prouvé sa grande capacité dans le pass-rush avec 6 sacks et 14 hurries pour aller avec ses 73 plaquages dont 4 à perte, 1 passe déviée et 2 fumbles récupérés.

http://www4.pictures.zimbio.com/gi/DeForest+Buckner+New+York+Jets+v+San+Francisco+ME8o2LuGjr-l.jpgA ses côtés, et comme nous pouvions nous y attendre, la ligne a cruellement manqué son roc, le Nose Tackle Ian Williams blessé avant la saison. Si on rajoute la mise sur IR de l’ancien partenaire de Buckner à Oregon, Arik Armstead (2.5 sacks et 12 hurries), les gros ont lutté toute l’année pour être performants ; la rotation n’a pas inspiré de peur aux adversaires. Quinton Dial a essayé de mener le groupe avec Ronald Blair, Mike Purcell, Chris Jones et Glenn Dorsey revenant de sa blessure… mais cela a été difficile cette saison pour la ligne défensive.

Il est très difficile de sortir un joueur du lot et de pointer le doigt sur lui, car le manque de talent à plusieurs endroits est surtout la faute de l’organisation, et nommément du General Manager Trent Baalke ; le responsable #1 de la dégringolade vertigineuse et de la grosse blague qu’est devenue l’équipe des 49ers. Cela n’a pas été une surprise de le voir renvoyé après cette saison.

Personne ne nie le fait que la franchise a pris la foudre avant la saison 2015 avec une cascade de retraites, blessures, etc. Mais dans ces cas, l’équipe ne peut faire qu’une chose : se reposer sur une base solide menée par le Head Coach avec des joueurs cadres et une partie régénérée régulièrement par de jeunes talents (draftés ou non). La première erreur a été d’avoir fait partir Jim Harbaugh, surtout pour le remplacer par Jim Tomsula. La deuxième a été de rater plusieurs drafts, avec des busts retentissants du genre d’A.J. Jenkins (vous vous souvenez de lui ?) mais surtout peu de titulaires au talent indiscutable sur la durée. La troisième a été des Free Agency aux choix plus que douteux, entre les signatures curieuses et les départs non remplacés. Désormais les 49ers doivent repartir sur de nouvelles bases.

L’arrière-garde ne paie pas de mine, mais étant donné ce qu’elle a dû faire avec un pass-rush moyen devant, cela aurait pu être pire. En tout cas, il est sûr que si nous regardons les autres unités, c’est la moins pire de toute, même si elle a aussi connu son lot de blessures importantes avec notamment le Safety Eric Reid et le Cornerback Jimmy Ward qui ont fini sur IR. Les deux ont fait une bonne saison quand ils étaient sur le terrain, avec notamment 17 passes défendues, 2 INTs, 3 fumbles forcés et 1 fumble récupéré en cumulé.

http://www2.pictures.zimbio.com/gi/Antoine+Bethea+Dallas+Cowboys+v+San+Francisco+9ktczVks4Ajl.jpgTramaine Brock a été une petite énigme en tant que Corner #1 car il a été inconstant (14 passes défendues, 1 INT). Keith Reaser a été moyen (5 passes défendues) et le rookie Rashard Robinson a montré de bonnes choses ici ou là mais a été blessé (8 passes défendues, 1 INT). Chez les Safeties il y a déjà plus de certitudes avec Reid, Bethea et le sophomore Jaquiski Tartt qui a été complet avec 61 plaquages dont 4 à perte, 1 sack et 5 passes défendues. Encore une fois, vu le peu de soutien devant, les arrières ont fait ce qu’ils ont pu ; on peut leur reprocher leur trop faible nombre d’INTs (10, 26e), mais il y a d’autres problèmes plus urgents ailleurs.

Dans le Goat Of The Year, nous avons parlé des signatures curieuses… en voici un exemple criant. Les 49ers ont réussi le tour de force de réunir trois Quarterbacks pris dans la draft 2011, et aucun d’entre eux n’est Cam Newton ou Andy Dalton. Non, c’est plutôt Colin Kaepernick, Blaine Gabbert et Christian Ponder ; il ne manquait plus que Jake Locker sorte de sa retraite pour faire la complète des busts du premier tour cette année-là. Et si on rajoute le fait que Ponder a été signé pour remplacer Thad Lewis blessé… cela donne une QB room à faire trembler, n’est-ce pas ?

Gabbert a démarré la saison et n’a rien apporté de plus qu’on ne savait pas déjà : 56.9%, 925 yards (5.8), 5 TDs, 6 INTs, 11 sacks et 68.4 de QB Rating. Kaepernick a fini par le remplacer, et après avoir surtout battu les défenses avec ses jambes plus qu’avec son bras, il a semblé retrouver un peu de sa magie d’antan au fur et à mesure de l’année. Mais s’il a été bon dans les premières mi-temps, il s’est écroulé dans les deuxièmes, ce qui donne une saison moyenne au final : 59.2%, 2241 yards (6.8), 16 TDs, 4 INTs, 3 fumbles, 36 sacks et 90.7 de QB Rating + 69 courses pour 468 yards et 2 TDs. Détail assez fou : cela lui donne donc la même moyenne de yards par course tentée que de yards par passe tentée (6.8).

Il y a un autre secteur qui a évité de peu la récompense, c’est le pass-rush. Vous vous rappelez, un peu plus haut, DeForest Buckner et ses 6 sacks ? C’est la meilleure marque dans l’équipe ; rappelons que le rookie joue 3-4 Defensive End, et non 4-3 Defensive End où ce serait déjà bien plus logique de mener dans cette catégorie (sauf quand on s’appelle J.J. Watt). Aaron Lynch a commencé l’année par une suspension avant de tomber dans un trou sans fond (1.5 sack) laissant Ahmad Brooks et Eli Harold pour faire tout le travail. Brooks a été le plus actif avec 56 plaquages dont 6 à perte, 6 sacks, 16 hurries, 4 passes défendues et 1 fumble forcé (3 sacks et 11 hurries pour Harold).

Personne n’ira dire que c’est l’affaire du siècle, mais au vu du retour sur investissement, le receveur Jeremy Kerley a fait sa part cette saison. Il a été le meilleur de l’équipe avec 64 réceptions pour 667 yards et 3 TDs… ce qui est assez déprimant quand on y réfléchit bien. Le jeune Quinton Patton n’a pas pu progresser par rapport à l’année dernière (37 réceptions pour 408 yards) et Torrey Smith a été majoritairement invisible.

Quid des Tight Ends, le nouveau Vernon Davis est-il dans la maison ? L’équipe le croit visiblement avec l’extension de Vance McDonald qui a totalisé 391 yards à 16.3 yards par réception (!), mais dans ce cas il va devoir sérieusement travailler ses mains avec 4 drops pour 24 réceptions. Remarquez, cela a été un gros problème au poste toute la saison puisque Garrett Celek a 5 drops pour 29 réceptions ; au moins les deux ont attrapé des TDs (4 pour McDonald, 3 pour Celek).

Normalement, c’est le moment où nous devrions décider de renommer cette récompense The Zane Beadles Award car il pourrait le gagner pour la deuxième année de suite, mais le joueur a été baladé à droite et à gauche en fonction des blessures sur la ligne offensive ; en plus de son poste régulier de Guard, il a remplacé Staley en Left Tackle et il a terminé Centre pour remplacer Kilgore puis Marcus Martin blessé. Il reçoit donc les circonstances atténuantes pour 2016.

La double victoire 28-0 et 22-21 contre Los Angeles. Et entre les deux… yikes.

La défaite 31-24 contre Miami en Week 12. Déjà parce que les fans ont dû y croire jusqu’au bout pour être déçus à la fin (les cyniques, eux, ont dû sauter de joie à l’idée d’avoir encore plus de chances de finir dans le top-3 de la draft). Mais surtout parce que cela a marqué une série de 10 défaites consécutives, record de la franchise (qu’ils ont finalement porté à 13). Et quand on parle d’une équipe aussi historique que San Francisco, présente en NFL depuis 1950, ça fait mal.

Et un lowlight personnel pour Chip Kelly car deux actions cruciales réussies par la défense de Miami l’ont été par… Kiko Alonso et Byron Maxwell, deux joueurs qu’il avait fait venir à Philly à l’époque (et qui n’avaient rien donné). Ouch.

La protestation de Colin Kaepernick sur l’hymne américain. Nous ne sommes pas spécialement fans d’insérer de la politique dans le Season Review, mais le Quarterback a attiré la lumière sur un sujet important, qu’on soit d’accord ou non avec la manière.

http://www3.pictures.zimbio.com/gi/Colin+Kaepernick+Tampa+Bay+Buccaneers+v+San+GPojx7ljwgZl.jpgEt surtout, cela a continué à faire parler des 49ers, parce que, mine de rien, ce n’était pas la qualité du jeu qui allait le faire.

 

Les besoins

 

Par où commencer dans ce capharnaüm ? Les trois postes absolus semblent être Quarterback, receveur et pass-rusher pour commencer. On sait que les nouveaux Head Coaches adorent arriver avec un nouveau Quarterback s’il n’y en a pas déjà un en place, il y a peu d’espoir dans le corps des receveurs actuel et il faut une nouvelle menace pour les lanceurs adverses. Ensuite, de la profondeur sur la ligne offensive et en Cornerback serait appréciable.

 

Le futur

 

Domicile : Seattle, LA Rams, Arizona, Dallas, NY Giants, Carolina, Jacksonville, Tennessee.
Extérieur : Seattle, LA Rams, Arizona, Chicago, Philadelphia, Washington, Houston, Indianapolis.
Record cumulé en 2016 : 119-132-5 (0.475, 20e).

Rien de tel que d’affronter l’AFC South pour avoir un calendrier qui semble moins terrifiant, même avec la NFC East. Mais les 49ers ne sont pas en état de sous-estimer qui que ce soit.