Boom Or Bust : Les choix du premier tour de la draft 2018 (4/4)

BoomOrBust2015

Nous terminons les tribulations des 32 choix du premier tour de draft pour savoir comment ils se sont comportés, et s’ils ont été les meilleurs rookies de leur équipe, avec les picks #25 à #32. Nous jetons également un coup d’oeil aux équipes n’ayant pas eu de choix de premier tour.

NB1 : FF = fumbles forcés, FR = fumbles récupérés, PD = passes défendues.

NB2 : Les snaps sont divisés en deux. Tout d’abord, le nombre total de snaps du joueur et son classement par rapport à l’équipe entière. Ensuite, le nombre de snaps du joueur dans son escouade principale, sa participation (en pourcentage du nombre maximal de snaps) et son classement dans l’escouade. Certains rookies jouant beaucoup sur équipes spéciales, les deux nombres de snaps peuvent donc différer.

NB3 : Les stats viennent d’ESPN, les snaps de FootballOutsiders et les matchs joués de Pro-Football-Reference.

 

25. BALTIMORE : Hayden Hurst, TE, South Carolina

500-RavensMatchs joués : 12
Snaps : Équipe – 306 (39/61) ; Attaque – 275 (23.1%, 19/29)
Réception : 13 réceptions, 163 yards (12.5), 1 TD
Catch Rate : 56.5%

Les Ravens essayaient de régler leurs problèmes de Tight Ends avec Hayden Hurst.

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Le début de saison de Hurst a été mis en suspens suite à une blessure au pied qui l’a empêché de démarrer la saison ; il n’a jamais vraiment réussi à reprendre son retard par la suite, comme les stats le prouvent. Pendant son absence, il s’est même fait voler la vedette dans le rôle de Tight End receveur par un autre rookie, le 3e tour Mark Andrews qui a posté 34 réceptions pour 552 yards et 3 TDs ; l’ex-Sooner a été une machine à big plays avec 8 gains de 20+ yards et 16.2 yards de moyenne par réception ainsi qu’une usine à first downs avec 24 ! Il a même forcé 3 Defensive Pass Interferences pour couronner le tout. Il sera intéressant de voir si Hurst peut passer une intersaison tranquille, auquel cas il pourrait former un sacré duo avec Andrews, surtout s’il confirme être un meilleur bloqueur que lui.

Les Ravens ont demandé beaucoup à leurs rookies cette saison, et ils ont répondu à des niveaux différents : Hurst a eu du mal, Andrews a fait de belles choses, le 3e tour Offensive Tackle Orlando Brown Jr. a gagné sa place de titulaire et a fait une première saison intéressante. Nous reviendrons évidemment sur le deuxième choix du premier tour de Baltimore, et comme sa performance va de paire avec celle d’une révélation, nous en parlerons à ce moment.

 

26. ATLANTA : Calvin Ridley, WR, Alabama

500-FalconsMatchs joués : 16
Snaps : Équipe – 653 (18/66) ; Attaque – 644 (60.8%, 9/26)
Course : 6 courses, 27 yards (4.5)
Réception : 64 réceptions, 821 yards (12.8), 10 TDs
Catch Rate : 69.6%, 6 drops
Kick Return : 2 retours, 50 yards (25.0)
Fumbles : 2 commis, 1 perdu

La vie allait être un peu plus compliquée pour les arrières de NFC South avec Calvin Ridley chez les Falcons.

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Établir un record de franchise pour un rookie est une bonne manière de démarrer. Avec ses 10 TDs (6e NFL) dont 6 scorés dans le mois de septembre, Ridley s’est rapidement signalé à la ligue avant de voir sa surveillance accrue et sa production dans l’endzone diminuer un peu. Il a profité de la couverture sur Julio Jones pour faire des misères aux défenseurs adverses, étant notamment capable de les mettre derrière lui avec facilité, démontrant déjà toutes les capacités d’un #2… et d’un potentiel futur #1. 6 drops et 2 fumbles dont un perdu sont cependant venus noircir un peu le tableau ; il devra travailler là-dessus.

Ridley est facilement le meilleur rookie, mais il faut parler du reste de la draft qui a été solide : notamment le 6e tour Linebacker Foyesade Oluokun qui a juste poussé Duke Riley sur le banc et finit comme le 2e plaqueur de l’équipe avec 91 ; s’il n’est pas une force destructrice inarrêtable, il s’est révélé comme un élément constant sur lequel s’appuyer pour le futur. Il y a aussi eu le 4e tour coureur Ito Smith qui a été un vrai finisseur avec 4 TDs, mais sa moyenne de 3.5 yards par course est un peu basse. Le 2e tour Cornerback Isaiah Oliver (7 passes défendues) a appris d’un début de saison compliqué, et le 3e tour Defensive Tackle Deadrin Senat (2.5 run stuffs) n’a pas été mal non plus.

 

27. SEATTLE : Rashaad Penny, RB, San Diego State

500-SeahawksMatchs joués : 14
Snaps : Équipe – 196 (43/62) ; Attaque – 180 (16.8%, 19/29)
Course : 85 courses, 419 yards (4.9), 2 TDs
Réception : 9 réceptions, 75 yards (8.3)
Catch Rate : 75%, 2 drops
Kick Return : 8 retours, 140 yards (17.5)

Les Seahawks créaient une petite surprise en prenant le coureur Rashaad Penny pour essayer de stabiliser le poste.

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La bonne nouvelle, c’est que Penny termine avec des moyennes plus qu’intéressantes, que ce soit au sol ou en réception. Mais vous voyez de suite le problème : il n’a pas beaucoup joué de la saison. En fait, il n’a jamais quitté la 3e place dans le depth chart derrière Chris Carson et Mike Davis : il a surtout été efficace sur des schémas de course qu’il connaissait déjà de l’université ; il doit encore apprendre toutes les subtilités du poste en NFL. C’est quelque chose qu’on a tendance à oublier, surtout avec les coureurs de 2e/3e jour de draft – voire non-draftés – qui ont un succès immédiat. Si vous rajoutez en plus quelques blessures qui ont entaché les camps et la saison régulière, il a donc connu une saison bien trop limitée.

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PUNTERS ARE BEST ROOKIES TOO ! Pardon, c’est parti tout seul, d’autant plus que le 5e tour Michael Dickson n’a pas été le seul première année à briller dans la draft de Seattle : le 4e tour Tight End Will Dissly était plutôt intéressant avant de se blesser fin septembre ; le 5e tour Safety Tre Flowers a joué Cornerback et a vu sa côte monter au fur et à mesure de la saison dans un style physique et agressif (6 passes défendues et 3 fumbles forcés) ; sur la ligne défensive, le 6e tour Defensive End Jacob Martin et le Defensive Tackle non-drafté Poona Ford ont apporté leur contribution dans la rotation (11 pressions dont 3 sacks + 2 fumbles forcés pour le premier, 3 run stuffs pour le deuxième).

Mais c’est bien l’All-Pro Dickson qui mérite le titre de meilleur rookie (on peut y associer Flowers si vous tenez vraiment à ajouter un joueur d’attaque/défense). Avec 48.2 yards bruts et 42.5 yards nets de moyenne par punt, il a confirmé qu’il était un excellent punter qui change à lui seul la bataille de position sur le terrain ; il menait même la ligue en yards nets (avec l’aide de la couverture bien sûr) avant ce match de Week 17 face à Arizona où deux de ses punts ont été contrés. Cela n’enlève rien à sa performance globale qui a été magnifique.

 

28. PITTSBURGH : Terrell Edmunds, S, Virginia Tech

500-SteelersMatchs joués : 16
Snaps : Équipe – 1190 (1/56) ; Défense – 967 (92.5%, 2/26)
Défense : 78 plaquages, 55 solo, 1 FR
Pass-Rush : 4 pressions, 1 sack
Couverture : 4 PDs, 1 INT

Avec un besoin en Safety, les Steelers accueillaient le grand frère de Tremaine, Terrell Edmunds.

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Et ils en ont eu besoin : comme vous le voyez, Terrell a été le joueur le plus utilisé de la franchise, défense et équipes spéciales confondues. Il s’est retrouvé titulaire suite à la blessure de Morgan Burnett, placé en Strong Safety aux côtés de Sean Davis, et il a fait une première saison solide sinon spectaculaire, finissant derrière son partenaire en plaquages. On savait qu’il ne manquait pas de capacités athlétiques et il l’a prouvé à plusieurs reprises en poursuite ; il peut sans problème descendre dans la boîte si besoin. C’est entre autres ce qui a poussé l’équipe à placer Burnett plus comme un dime Linebacker quand il est revenu, car ils avaient confiance dans le rookie. Néanmoins, tout n’est pas parfait, et il doit encore travailler sur sa technique de plaquage pour devenir un vrai dernier rempart, mais pour l’instant, cela ne ressemble plus autant à un reach.

Edmunds a été le meilleur rookie, mais mention au 5e tour Jaylen Samuels qui a fait des apparitions remarquées comme coureur/receveur (et non Tight End comme à North Carolina State) avec 82 touches pour 455 yards et 3 TDs ; une arme hybride supplémentaire qui doit se développer.

 

29. JACKSONVILLE : Taven Bryan, DT, Florida

500-Jaguars-2Matchs joués : 16
Snaps : Équipe – 375 (28/71) ; Défense – 301 (29.4%, 14/29)
Défense : 20 plaquages, 13 solo, 2.5 run stuffs
Pass-Rush : 3 pressions, 1 sack

Un autre athlète arrivait sur la ligne défensive des Jaguars avec le Defensive Tackle Taven Bryan.

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Bryan a eu une première année sympathique ; on ne peut pas dire qu’il ait été un mauvais choix. Cependant, on est plus sur le projet long-terme que sur l’acquisition qui change la donne de suite. Il est possible que l’équipe l’ait imaginé plus beau qu’il n’était : en l’essayant au poste de Defensive End dans le moule de Calais Campbell, c’était peut-être trop et possiblement trop tôt. Sa technique de pass-rush est encore très loin d’être finie, et il semble beaucoup plus à l’aise comme Defensive Tackle en 3-technique ; il a été un peu plus à son avantage contre la course. Il va falloir qu’il prenne un peu de muscles, qu’il développe son pass-rush et qu’il digère tout ce qu’il a appris en 2018 afin de revenir encore meilleur en 2019.

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Aucun autre rookie n’a assez joué pour mériter le titre de meilleur (même si, par exemple, le 3e tour Safety Ronnie Harrison a vraiment été intéressant en fin de saison quand il a été titularisé)… sauf le 7e tour… le Punter Logan Cooke ! Oui, encore une fois, PUNTERS ARE BEST ROOKIES TOO !

Il a eu du travail avec 86 punts (3e) pour des moyennes de 45.0 yards bruts et 41.3 yards nets, avec 37 dans les 20 adverses… et un gros carton en présaison contre Tampa Bay. Les débuts ont été compliqués, mais par la suite il a été le rookie le plus productif et régulier sur l’ensemble de la saison. Ce n’est jamais négligeable, surtout quand vous vous retrouvez dans une équipe qui n’avance plus offensivement et qui doit souvent se dégager.

 

30. MINNESOTA : Mike Hughes, CB, Central Florida

500-VikingsMatchs joués : 6
Snaps : Équipe – 332 (34/58) ; Défense – 243 (23.4%, 19/26)
Défense : 22 plaquages, 19 solo, 2 run stuffs, 1 FF
Couverture : 3 PDs, 1 INT, 1 TD
Kick Return : 4 retours, 107 yards (26.8)
Punt Return : 2 retours, 13 yards (6.5)

Les Vikings ajoutaient un membre de plus à une arrière-garde fournie avec le Cornerback Mike Hughes.

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Hughes a fait partie d’une unité qui a été minée par les blessures, avant de tomber lui-même sur le gridiron suite à une rupture d’ACL en Week 6. Déplacé en fonction des besoins, il avait fait des choses sympathiques en couverture, mais c’est évidemment trop peu pour donner un jugement définitif ; on ne peut que lui souhaiter de revenir en 2019 et de faire une saison complète pour confirmer les louanges de ses entraîneurs.

Au niveau du meilleur rookie… c’est un peu compliqué. Déjà, ce ne sera sûrement pas le 5e tour Kicker Daniel Carlson, libéré après un 1/4 en FG. Le 2e tour Offensive Tackle Brian O’Neill a connu une promotion express et a énormément joué ; de fait, s’il a eu du mal pour commencer, il a semblé plus à l’aise sur la fin. Le Cornerback non-drafté Holton Hill a été la belle découverte (encore à cause des blessures dans l’arrière-garde), mais il n’a pas beaucoup joué. Il est possible que cette draft soit vraiment bonne (en tout cas on en a vu des bribes), mais il faudra attendre 2019 pour le confirmer.

 

31. NEW ENGLAND : Sony Michel, RB, Georgia

500-PatriotsMatchs joués : 13
Snaps : Équipe – 341 (32/63) ; Attaque – 320 (28.6%, 16/28)
Course : 209 courses, 931 yards (4.5), 6 TDs
Réception : 7 réceptions, 50 yards (7.1)
Catch Rate : 63.6%, 2 drops
Kick Return : 4 retours, 77 yards (19.3)
Fumbles : 1 commis, 1 perdu

Les Patriots restaient en place en #31 pour sélectionner encore un joueur de Georgia, le coureur Sony Michel.

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Vous voyez les stats : Michel est venu proposer une alternative très crédible à l’attaque aérienne menée par Tom Brady. Les nombres parlent d’eux-mêmes (on peut y rajouter les 57 first downs), et il faut bien sûr associer le travail de la ligne offensive qui a été assez énorme dans ce secteur. Ce ne peut être que très positif pour la franchise si, désormais, les Patriots ont également une attaque terrestre qui peut avancer avec l’ex-Bulldog en tête de gondole.

 

32. BALTIMORE : Lamar Jackson, QB, Louisville

500-RavensMatchs joués : 16
Snaps : Équipe – 585 (26/61) ; Attaque – 585 (49.2%, 12/29)
Passe : 58.2%, 1201 yards (7.1), 6 TDs, 3 INTs, 16 sacks
QB Rating : 84.5
Course : 147 courses, 695 yards (4.7), 5 TDs
Fumbles : 12 commis, 4 perdus

Alors qu’on pensait qu’il allait devoir revenir le lendemain, les Ravens remontaient dans le premier tour pour sélectionner le Quarterback Lamar Jackson.

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Pour bien évaluer l’impact de Jackson, il faut faire la part des choses. D’un côté, son arrivée a transformé l’équipe qui a terminé sur un 6-1 pour se qualifier en playoffs (bien entendu, la défense et les équipes spéciales ont également eu leur mot à dire) ; son impact principal est survenu dans le jeu au sol, où il a permis à Baltimore de devenir une machine terrestre redoutable. De l’autre, il doit encore largement s’améliorer à la passe, et il perd un peu trop de ballons. Historiquement, les QBs coureurs plus que lanceurs n’ont jamais réussi bien longtemps sans développer (ou tenter de développer) leur jeu aérien, car les Coordinateurs Défensifs s’adaptent. Ce qu’on a vu en 2018 était vraiment très intéressant pour un rookie envoyé au feu, maintenant il doit étoffer tout cela.

Comme promis, puisque nous avons parlé de la résurrection du jeu au sol grâce à Jackson, il faut lui associer la révélation du coureur non-drafté Gus Edwards.

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Alors qu’Alex Collins avait du mal à trouver les brèches (3.6 yards par course), Edwards a fini par prendre sa place et a été inarrêtable ballon en main ; il est le #1 de Baltimore avec 137 courses pour 718 yards (5.2 !) et 2 TDs. Il a gagné les yards nécessaires pour offrir des first downs (37, soit 27% de ses courses) ou permettre de placer l’attaque dans une situation avantageuse ; peu de joueurs sont parvenus à faire cela aussi régulièrement que lui. Il a posté 3 matchs à 100+ yards et compte bien en rajouter quelques-uns de plus dans le futur pour la franchise du Maryland.

 

Le meilleur des autres équipes

 

Et pour finir, les meilleurs rookies choisis par les équipes qui n’ont pas sélectionné dans le premier tour.

500-TexansÀ Houston, les Texans n’ont pas eu un choix avant le 3e tour, mais ils ont tapé fort avec le Safety Justin Reid qui a été le 2e joueur le plus utilisé de l’équipe. Reid s’est immédiatement acclimaté, étant aussi à l’aise en couverture que contre la course, et il promet de rendre de bons services pour un paquet de temps dans le Texas ; il termine à 88 plaquages, 2 run stuffs, 10 passes défendues, 3 INTs dont un TD, 1 fumble forcé et 2 fumbles récupérés. Autre rookie qui a fait son trou, « KKQT » : le 4e tour receveur Keke Coutee a dû pallier les blessures de Will Fuller et Demaryius Thomas, mais il a démontré qu’il pouvait former une connexion très sympathique avec Deshaun Watson ; il poste 28 réceptions pour 287 yards et 1 TD.

500-ChiefsÀ Kansas City, les Chiefs ont demandé du travail de la part de leurs rookies, et c’est le 3e tour Defensive Tackle Derrick Nnadi qui s’en est le mieux tiré, en étant notamment un bon défenseur contre la course ; souvent plaqueur ou assistant plaqueur quand il s’agit de stopper l’adversaire balle en main. C’est toujours difficile de demander à un Nose Tackle d’être un meilleur pass-rusher, mais il a déjà la base et ne peut que progresser. Mention au Cornerback non-drafté Charvarius Ward, arrivé de Dallas, qui a montré des choses assez intéressantes dans un temps de jeu limité.

500-RamsAux LA Rams, contrairement à Kansas City, on n’a pas demandé énormément aux petits nouveaux. Celui qui s’est le mieux démarqué est le 4e tour Defensive End John Franklin-Myers, et il a tourné autour de 300 snaps ; il a réussi 8 pressions, 2 sacks, 1 fumble forcé et 1 fumble récupéré.

500-EaglesÀ Philadelphia, une petite draft mais de l’impact. Le 2e tour Tight End Dallas Goedert a déjà trouvé sa place avec 33 réceptions pour 334 yards et 4 TDs ; le 4e tour Cornerback Avonte Maddox a beaucoup souffert quand il a été propulsé sur le terrain par les blessures de ses camarades, mais la fin de saison régulière en boulet de canon de Philly coïncide avec son acclimatation au rythme de la NFL : il a joué comme un possédé, postant 35 plaquages, 1 run stuff, 4 passes défendues, 2 INTs et 1 fumble forcé. Quant au coureur non-drafté Josh Adams, il a tout simplement terminé comme l’arme offensive la plus utilisée avec 127 touches pour 569 yards et 3 TDs ; il a majoritairement été utilisé à la course à 4.3 yards de moyenne.