Gameday : Match du Dimanche Week 15

Après un dimanche pour rien dans l’AFC Nord ou personne n’a profité du faux pas des adversaires directs, Pittsburgh va défier Dallas une autre équipe d’une division ultra serrée.
Dallas peut encore remporter la division NFC Est alors que Pittsburgh ne joue plus que pour une wild-card.
Mais la question est restera-t-il suffisant de starters valides pour cette rencontre ? Dallas doit se passer de 6 titulaires défensifs sans oublier Dez Bryant et son doigt cassé, chez les Steelers on doit conjuguer avec pas mal de bobos qui touchent plusieurs titulaires. Une épidémie a également diminuer une demi-douzaine de joueurs dont les WR Brown et Burress.
En manque de CB Mike Tomlin pourrait donc utiliser des joueurs de special teams dans son alignement défensif, pour la lligne offensive il devrait (enfin) titulariser le rookie David DeCastro au poste de RG tandis que Willie Colon et Mike Adams seront out. La ligne aura une importance notable pour permettre a Ben Roehtlisberger de conduire une attaque défaillante contre les Chargers. Les Cowboys ne pourront peut-être  pas leur opposer le LB Demarcus Ware, le NT Jay Ratliff, le CB Morris Clairborne ou le S Charlie Prepah.
L’attaque de Dallas elle avance beaucoup par le bras de Tony Romo qui affrontera la meilleure défense aérienne, celle ci est diminuée par l’absence ou la méforme de plusieurs joueurs mais aura a coeur d’augmenter le total d’interceptions de Romo son 2ème plus gros total en carrière. La faiblesse du jeu de course pourra justement compenser ces absences.
Les coureurs des Steelers devront aussi hausser leur niveau de jeu s’ils veulent encore jouer au mois de janvier.

Les Bengals ont mis la pression sur les Steelers qui vont tenter un sweep contre la NFC Est cette saison tandis que Dallas aura l’avantage de jouer a domicile par rapport à ses deux rivaux, un avantage qui ne sera peut-être pas anodin face a Pittsburgh et sa fiche négative loin du Heinz Field.

Stop talking, start playing

La plus ancienne rivalité de la NFL a vu son 186e match commencer dans les coulisses par quelques déclarations fracassantes ici ou là. Dans une rivalité qui est depuis un moment courtoise entre les joueurs, ça a été un changement de cap plutôt surprenant.

On peut mettre ça sur le fait que ce match est encore plus que d’habitude le match de l’année pour les Bears : avec 4 matchs perdus sur les 5 derniers après un départ tonitruant à 7-1, Chicago est en danger de sortir des playoffs, voire même d’être 3e de la division NFC North en cas de victoire de Minnesota.

C’est pour cela que la montagne de blessures qui frappe la franchise de l’Illinois arrive au mauvais moment : en plus de Earl Bennet et Brian Urlacher assurés de ne pas jouer, les absences potentielles de Tim Jennings, Henry Melton ou Shea McClellin pourraient porter un coup à une défense qui n’arrive plus à arracher autant de ballons qu’au début de la saison. Du côté de l’attaque, la question va être une nouvelle fois de savoir si l’OL va pouvoir empêcher les Packers d’accumuler 7 sacks comme lors de la Week 2. Car avec une blessure au genou, Jay Cutler risque d’être moins mobile qu’à l’accoutumée. Encore une fois, le QB cherchera principalement Brandon Marshall pour s’en sortir.

Les Packers ont aussi eu leur lot de blessures, mais plutôt en début de saison, ce qui leur permet de récupérer des joueurs importants. Certes Charles Woodson ne sera pas présent, mais avec le jeu actuel des DBs de Green Bay son absence est moins grave que celle de Clay Matthews sans qui le pass rush n’arrive à rien; bonne nouvelle pour le Wisconsin, le LB va pouvoir jouer. Une question se pose cependant sur la DL qui est plutôt mince avec 4 joueurs, et qui pourrait souffrir si les Bears arrivent à instaurer un jeu de course.

En attaque, Jordy Nelson sera probablement aussi out pour le match, ce qui offre une cible de moins à un Aaron Rodgers qui s’apprête à encore une fois devoir composer avec une OL en pass block friable. Cependant, les Packers se sont découverts un jeu de course récemment qui reste le meilleur moyen de garder le QB de Green Bay en bonne santé. La DL des Bears devra faire attention à ne pas foncer sur Rodgers trop vite sous peine d’être prise à rebrousse-poil par le trio Green/Harris/Grant.

Outre le fait que c’est une rencontre de plus dans la rivalité historique, les Packers visent la victoire afin de remporter la division pour la 2e année de suite et afin de pouvoir se concentrer sur l’obtention de la bye week. Les Bears veulent absolument sauver leur place en playoffs de la meute d’équipes à 7-6 (Washington, Dallas et Minnesota), et stopper une série de 5 défaites de suite contre leur meilleur ennemi.

Indianapolis Colts at Houston Texans (Patafouin)

Dimanche 16 Décembre 19h heure française

Reliant Stadium

Washington Redskins @ Cleveland Browns (Supychou)
Cleveland Browns Stadium
Dimanche 16 décembre à 19h

Des équipes en forme

Ce match opposera 2 bonnes « surprises » de cette saison. D’un côté, les Redskins menés par leur rookie QB star, et qui viennent d’enchaîner 4 victoires d’affilée. De l’autre, les Browns qui, après 3 victoires d’affilée, démontrent tout le talent qu’ils ont dans leur rang.

Washington arrivera à ce match avec le plein de confiance, et l’envie d’aller en Playoff (7ème seed pour le moment).
Et pour espérer ajouter une 5ème victoire, ils devront vraisemblablement faire sans leur franchise QB, RG3, blessé lors du match précédent. C’est donc Kirk Cousins qui s’occupera de mener l’attaque aérienne, ayant en tête la victoire qu’il a donné aux Redskins contre les Ravens. Il visera sans doute la cible préférée des jeunes QB, Pierre Garcon qui, sans une blessure de plusieurs semaines, serait en passe de faire une très belle saison.
De plus, l’autre rookie star de l’équipe, Alfred Morris sera là pour aider son attaque, essayant pour le
4ème match d’affilée de dépasser les 110 yards. Un jeu de course très dangereux donc.
La défense pourra sans doute compter sur le retour en forme de Ryan Kerrigan, pour essayer de stopper le jeu au sol adverse.

Pour Cleveland, la donne n’est pas la même. Bien mal parti au début de saison, ils ont décidé depuis quelques matchs de montrer qu’ils ne sont pas à prendre à la légère.
Eux aussi menés par 2 rookie, ils compteront sur Brandon Weeden pour faire avancer son équipe face à une défense contre la passe plutôt mauvaise. Sa connection avec Josh Gordon est donc à surveiller de près.
Mais la vraie star de l’équipe, c’est Trent Richardson. Répondant aux attentes placées en lui (et ce malgré le fait que toutes les équipes portent leur attention sur lui), il risque de sortir à nouveau un match intéressant, étant aussi bien dangereux à la course qu’à la passe.
Mais le gros plus des Browns, c’est le retour de Joe Haden en défense. Impérial face aux WR1 des équipes adverses, il essaiera de continuer son travail colossal permettant à son équipe de rester dans le match.

Un match des plus indécis nous attend ici. Entre 2 équipes talentueuses et prometteuses, la bataille risque de faire rage. Et au final, l’absence de RG3 pourrait faire mal aux Redskins…

 Minnesota Vikings@Saint Louis Rams (Franck)
Edward Jones Dome
Saint louis, Mi

10 000 yards sur la terre pour Steven

Les Rams (6-6-1) sont toujours dans la course aux play-offs en week 15. J’ai du mal à croire ce que je viens d’écrire. Non pas que cette équipe ne le mérite pas mais elle ne dégage pas cette impression de force d’une équipe qui file vers les play-offs.

Et pourtant, Jeff Fisher (HC) a su redonner ce coté tough à cette franchise. Il suffit de voir les résultats de cette équipe contre les 49ers cette année. Un score partagé à San Francisco et un victoire en overtime à Saint-Louis. Pas sexy mais solide. Du Jeff Fisher dans le texte et qui a sous la main quelques joueurs défensifs de premier plan ou en devenir. Le rookie Micheal Brockers (DT) aligne des statistiques intéressantes (4 sacks, 1FF) au poste le plus ingrat de la défense, les DT faisant le gros du boulot dans la ligne mais laisse souvent un autre joueur conclure l’action. Et derrière lui , les RB adverses se frottent souvent à James Laurinaitis (LB) qui est une machine à plaquer (98 solo tackles) et qui devrait jouer ce match.

Les Rams ont un très bon front seven et s’ils ne sont que 13ème défense contre la course (110 yards par match), ils ont muselé récemment Frank Gore et le duos des Bills (CJ Spiller et Fred Jackson).
Le RB adverse du jour n’est autre qu’Adrian Peterson (RB) qui est dans la forme de sa vie. 7 Matchs de suite à plus de 100 yards, (157 yards par match) et 9 TD. Il est assuré de remporter son second titre de meilleur coureur de la ligue, ses 1600 yards devancent de plus de 300 yards son plus proche poursuivant, Marshawn Lynch.
Ce joueur mérite d’etre MVP de la saison au vu de ses statistiques mais également parce qu’il est totalement isolé en attaque et permet aux Vikings (7-6) d’espérer participer aux play-offs. L’herratique Christian Ponder (QB) a une moyenne de yards par passe tentée (5,8) plus faible que la moyenne de yards à la course que Peterson (6).

En défense, Jared Allen (DE), 9 sacks cette saison, demeure une menace permanente pour les QB adverses. Et il pourrait bien croquer une ou deux fois Sam Bradford (QB) ce dimanche.
Meme si Danny Amendola (WR) devrait jouer ce match, la meilleure arme offensive à disposition de Sam Bradford sera certainement Steven Jackson.

Steven Jackson (RB), 836 yards pour la saison, fera tout pour franchir lors de ce match la barre des 10 000 yards en carrière (9 929 yards). Un seuil atteint par seulement 26 joueurs, les plus grands a et qui prouvent le talent et la durabilité de ce joueur.

A ce jour, Adrian Peterson a gagné 8 352 yards en 84 matchs.

Météo prévue : stade couvert

 

Tampa Bay Buccaneers-New Orleans Saints (Tchoupi)
Dimanche 16 décembre à 19h
Mercedes Benz superdome

Les buccs pour une wild card

Les deux équipes ne sont pas au mieux en cette fin de saison. Du coté des Saints on attend la fin de al saison pour partir en vacances et oublier définitivement cette saison cauchemardesque.
Un peu plus de satisfaction du coté de Tampa, mais après bon début de saison ils se sont écroulés, voyant leur rêve de PO s’émietter petit à petit. En cas de défaite ce week end ce sera certainement aussi les vacances pour les buccs d’ici trois semaines.Le match aller a été dantesque, un festival offensif notamment à la passe (pas dur contre les Saints). Josh Freeman avait réussi un énorme match avec 420 yards et 3 TD. Il faudra reproduire une performance similaire ce week end pour venir à bout de Saints, piqué au vif par leur lourde défaite contre les Giants.Les Saints eux s’appuieront sur leur force qu’est l’attaque contre la passe pour rattraper les largesses de sa défense et espérer gagner le match D’autant plus que le jeu de course n’est pas du tout performant…

New york Giants-Atlanta Falcons (Tchoupi)
Dimanche 16 décembre à 19h
Georgia dome

Au bon souvenir des play off

La dernière fois que les deux équipes se sont affrontés, les Giants avaient giflés les Falcons avec seulement deux points encaissés et environ 40 de marqués.
Mais ça c’était avant… et c’était surtout en PLay off. Car on sait tous que les Giants en SR et en PO ne sont pas du tout la même équipe.
Cette saison, on a vu le jour et la nuit, de très bonnes performances notamment contre les Saints et aussi de très très mauvaise. L’humeur de l’équipe dépend souvent de celle de leur QB Eli Manning. En face une équipe des Falcons bien plus consistante que l’an passé avec un jeu de passe huilé comme une sardine dans sa conserve, grace au quatuor Ryan-White-Jones-Gonzales.Un beau duel en perspective.

Seahawks – Bills (Giloo)
Ralph Wilson Stadium
Dimanche 16 Décembre à 22h05

Back from a rape

Les Seahawks sont en forme et le dernier match le prouve plus que bien en un chiffre, 58. Oui, c’est bien le nombre de points que les Seahawks ont planté aux Cardinals et même pas sur Madden NFL, IRL comme on dit (« In Real Life » pour les gens qui n’ont pas compris et « Dans la vrai vie » pour les anglophobes). Enfin bref tout cela en plus avec un Russel Wilson qui ne tente 13 passes et n’en complète que 7 mais bon pour tout de même 148 yards, un touchdown et une interception. On ne parle que de Luck ou RGIII mais personnellement je verrais très bien un Russel Wilson Rookie Of The Year tant le boulot que fait le petit rookie est pas énorme mais juste et bien réalisé. C’est vrai qu’on ne peut pas oublier le fait qu’il est très très bien aidé par Marshawn « Skittles Monster » Lynch omniprésent dans le jeu offensif des Seahawks tel un Adrian Peterson aux Vikings. Parlons du jeu au sol qui a piétiné ces pauvres Cardinals avec plus de 284 yards et le prix du running back de la soirée ne reviens pas à celui qui a couru le plus de fois, c’est-à-dire le rookie Robert Turbin avec ses 20 portées mais bien le monstre mangeur de Skittles aka Lynch avec seulement 11 portées pour 128 yards et 3 touchdowns. Et la statistique qui fait rire ou pleurer (fan des Cardinals ou pas) c’est que même le 3ème running back des Seahawks Leon Washingtona fait un meilleur match que les deux runnings backs des Cardinals avec 7 portées pour 38 yards et un touchdown… Du coup on peut vraiment se poser la question si les Seahawks ont vraiment si bien joué ou alors ce sont les Cardinals qui sont si mauvais, un peu des deux (plus de la deuxième proposition quand même).Chez les Bills il n’y a pas eu de Spiller mania dimanche dernier et ni de victoire surtout. Seulement cantonné à 7 courses, le running back surprise des Bills gagna quand même 37 yards alors que Fred Jackson aura eu le droit à 9 courses qui n’auront résulté qu’à 14 pauvres yards. Là où les choses sont bizarres c’est que Ryan Fitzpatrick a eu le droit à 33 passes et je ne veux pas dire par là qu’il ne les mérite pas surtout qu’il n’a pas fait un match très mauvais avec 247 yards  un touchdown et une interception mais quand on a deux gros talents à la course, il faut les utiliser. Et quand on voit le peu de courses faites dans le match c’est difficile à comprendre et ce n’est pas parce que le football se tourne plus vers la passe de nos jours et surement pas un manque de confiance surtout qu’ils ont déjà prouvé de quoi ils sont capables. La défaite peu du coup paraître décevante surtout que de perdre pour un kick alors que sa défense a plutôt bien tenu le coup n’encaissant pas beaucoup de yards ni à la passe ni à la course et gênant plusieurs fois le quarterback adverse c’est énervant  mais je crois que les supporters de Bills commencent à avoir l’habitude…

La météo prévue :

Carolina Panthers-San Diego Chargers (Tchoupi)
Dimanche 16 décembre à 22h05
Qualcomm stadium

Duel d’éliminé

Les deux équipes ne peuvent plus rien sauver cette saison.. Norv turner est déjà presque sur de ne plus faire partie du staff à la fin de la saison, tandis que Ron Rivera est sur la sellette.

Mais ces deux équipes peuvent encore sauver leur honneur et donner l’illusion d’une saison pas trop raté.. Et le moins que l’on puisse dire c’est que les deux franchises ont montré de belles choses la semaine dernière.

Dans le sillage de Cam Newton, les Panthers ont vaincus leurs rivaux et leader de la NFC: les Falcons. Pendant ce temps, les Chargers ont commencé leur entreprise de destruction du mois de décembre en se payant le scalp des Hommes d’acier de Pittsburgh.
Les Chargers devront contenir un Cam Newton on fire pour espérer une victoire. Newton pourra compter sur sa défense pour contenir une attaque californienne qui a retrouvée des couleurs la semaine dernière.

En 1971, le groupe rock America a atteint la postérité avec la chanson « a horse with no name », qui narre l’errance d’un homme dans le désert accompagné d’un équidé anonyme (bon je ne vous cache pas qu’une légère métaphore se cache derrière ce voyage). Cette chanson vous fait ressentir la chaleur, la sécheresse, la solitude, l’isolement mais dégage ce coté fataliste qui vous fait tout accepter.

Cette chanson doit résonner aux oreilles des fans des Cardinals depuis 9 semaines. 9 semaines de défaites vécues comme une mauvaise descente aprés un euphorique début de saison marqué par 4 victoires de suite. Et en guise de cheval, ils ont une équipe, perdue dans le désert, pratiquant un football sans nom.

Descente doublée, la semaine dernière, d’une humiliation subie contre les Seahawks. Une rouste (58-0) au cours de laquelle l’attaque des Cardinals a produit autant de first downs (10) qu’elle a commis de turnovers ( 8 ). J’ai beau cherché, une telle attaque est innommable.

Ryan Lindle (QB) devrait débuter le match dimanche. Bonne nouvelle c’est un QB, qualité dont a pu douter qu’elle était celle de John Skelton (QB) qui ressemblait plus à un punter travesti en QB contre les Seahawks (4 INT et 2 fumbles, 78 yards). Mauvaise nouvelle, Lindle est rookie et a les statistiques qui vont avec (0 TD pour 9 INT).

Si on ajoute que les porteurs de ballons Bennie Wells et La Rod Stephens-Howling (RB) ont une allure de trotteurs fatigués (moins de 500 yards à eux deux), on comprend vite pourquoi l’attaque des Cardinals est dernière de la ligue en yards et en points.

Heureusement, leur défense se porte un peu mieux, menée par un Patrick Peterson (CB), promu cette saison au rang des meilleurs shutdown corners de la ligue et auteur de 6 interceptions.

Cela nous permet d’espérer avoir un semblant de match dimanche. En effet, les Lions arrivent dans le désert, avec l’une des meilleures attaques de la ligue. Des Lions qui aimeraient stopper la série de 5 défaites de suite dont les trois dernières en ayant mené de plus de 10 points. Éternels Lions.

Matthew Stafford (QB), qui peut espérer boucler une deuxième saison à plus de 5000 yards (4008 yards), devra se méfier du backfield des Cardinals (13 interceptions pour les titulaires). Le dernier objectif des Lions pour marquer cette saison, o combien décevante, est de permettre à Calvin Johnson (WR) de gagner encore 303 yards pour battre le vieux record de Jerry Rice de 1848 yards gagné dans une saison. Les nombreuse absences aux postes de receveurs vont permettre aux Cardinals de doubler, voire tripler la couverture sur Calvin Megratron Johnson. L’objectif est donc pour les Lions de prendre rapidement le score pour ensuite gonfler les statistiques de Megatron.

Les nombreuses blessures qui affectent les joueurs défensifs des Lions (Corey Willians (DE), Nick Farley (DT), Chris Houston (CB) et à nouveau Louis Delmas (S)) permettront peut être à Ryan Lindle de trouver son rythme ainsi que Larry Fitzgerald (WR) et Andre Roberts (WR). Ces deux là ont le mérite d’essayer de capter des ballons lancés par des QB qui changent toutes les deux semaines.

Mais la clé du match sera certainement le duel opposant Peterson à Johnson. A vous de miser sur le bon cheval.